Livres publiés

Les cavités

collection présent (im)parfait, éditions Isabelle Sauvage, oct. 2023.
138 pages, 12 x 15 cm
Isbn : 978-2-490385-42-3
Prix : 17 €
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“Les cavités ont avalé mes rêves d’enfant
les ont régurgités en d’amères pelotes.”

25 mai, à 20h00 Lecture place Baverel, Marseille, pour le festival Oh ma parole.
Finaliste du prix de poésie Le Bellovidère, 2024.

Ce qu’on en dit :

  • Interview, FranceFineArt, Anne-Frédérique Fer, 12 dec. 2023.

  • “Peut-on parler de dystopie? En tous cas, ce livre qui se lit à toute vitesse met en place une société apparemment fictive mais qui possède beaucoup d’aspects réels, d’où à la fois ambiguïté et trouble”, revue Décharge, Jacques Morin, décembre 2023.

  • Les cavités ou l’exploration, patiente, sonore et rythmique, des creux que nous sommes, les aspérités et autres traversées de nos inconsolables tristesses, des discours plaqués par lesquels, paraît-il, on essaie de nous en guérir.” La viduité, 8 déc. 2023.

  • “Poème de l’acuité, poème de l’aveuglement, Les cavités n’élude pas les paradoxes” Conte de la chambre obscure, Chemin Potier, Pierre Gondran dit Remoux, 12 nov. 2023.

  • “Il y a quelque chose de fascinant dans la construction de l’autrice, les phrases comme poèmes et l’abime des cavités,” Pour que le goût de la liberté me vienne, comme une saveur oubliée, Didier Epsztajn, 11 nov. 2023.

  • “Quelques lignes par page, des souffles courts, des cailloux aigus et ronds.” Droit dans les yeux, et dans le tremblement, L’intervalle, Fabien Ribery, 25 oct. 2023.

  • “Entre poème, récit et prose fragmentaire, Les cavités est un livre essentiel, difficile et paradoxalement apaisé, porté par une langue concise (précise, j'avais envie d'écrire) qui prend le détour de la fable pour mieux dire le réel”. Eric Pessan, 26 oct. 2023.

 

La maison sans toit

collection Singulière, éditions Light Motiv, oct. 2023.
144 pages, 14,5x21 cm
Photographies de Laure Samama
45 photographies et un texte d’Hélène Gestern
Tirage : 1500 exemplaires
Isbn : 9791095118268
Prix : 26 €
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“La pellicule, les pixels capturent un fragment de temps et d’espace, prélevé quelque part dans le monde.” Hélène Gestern

Ce qu’on en dit :

  • Il arrive que l’on y pense, interview radio par Cédric Merland, Radio Grand Ciel.

  • “Parmi des évocations visuelles ou langagières, je souligne très subjectivement les abandons, les fragments de temps, les mises en abyme”, Entre les lignes entre les mots, Didier Epsztajn

  • “Les photos d’une désertion, les mots mis sur cet abandon ; les mystères d’une maison dont ne restent que vestige, les exégèses où s’invente le sens de ses absences, où se spécule une réflexion sur la photographie.” La viduité, 2024

  • Les yeux qui pétillent, enthousiasme de la libraire!

  • “les photographies de Laure Samama, et l’analyse qu’en fait Helene Gestern ont le mérite de stimuler l’imagination du lecteur…”, Tu vas t’abîmer les yeux, Eva, déc. 2023.

  • “S’il désarçonne au début, le procédé fait mouche”, Chasseur d'Images, n° 453, Benoît Gaborit, déc. 2023.

  • Chronique,  Réponses Photo n°364, Ericka Weidmann, nov. 2023.

  • “A chacun donc d’inventer son propre funambulisme interprétatif dans cette proposition photo-texte intrigante.” Droit dans les yeux, et dans le tremblement, L’intervalle, Fabien Ribery, 25 oct. 2023.

  • La maison sans toit est une énigme que la photographie ne peut résoudre, mais il est cependant possible de documenter cette énigme, de la questionner.” 5 rue du, Frédéric Martin.

 

Je danse seule

collection Note, éditions Arnaud Bizalion, mai 2021.
64 pages, 15 x 15,5 cm
11 photographies
ISBN 978-2-36980-174-0
Prix: 17 Euros
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Un livre qui répond à tout un tas de question que vous ne vous étiez jamais posées et dont les réponses ne vous manquaient pas encore :

1- Le saucisson est-il moteur d’action ?
2 - Les renards ont-ils leur place sur la tombe de Jim Morrison ?
3 - La serpillère est-elle une arme efficace face à une menace sanitaire mondiale ?
4 - L’amitié est-elle soluble dans la distance?
5- Faut-il se cacher derrière des chats quand on prend des photos de soi ?
6 - Vaut-il mieux un barbu dans son lit ou au-dessus de sa tête?
7 - Quelle poétique pour le désespoir ?
et tant d’autres….

Ce qu’on en dit :

  • Je danse seule n'est pas qu'un livre de photo, mais il n'est pas non plus seulement une autobiographie. C'est un objet hybride, texte et photo - photo et texte, où Laure Samama se livre, se raconte ; où l'image et les mots sont en relation permanente.”, 5, RUE DU, Frédéric Martin.

  • “Paraît dans la collection Notes chez Arnaud Bizalion Editeur, le nouvel opuscule de Laure Samama, Je danse seule, récit en phrases studium et images punctum d’une drôle de guerre faite à la sensibilité.” Dans l’hypnagogie, par Laure Samama, écrivain, photographe, L’intervalle, Fabien Ribery.

  • Interview, FranceFineArt, Anne Frédérique Fer,  mai 2021.

 

Ce qu’on appelle aimer

collection Note, éditions Arnaud Bizalion, mai 2016.
68 pages, 15 x 15,5 cm
Texte et photographies
ISBN : 978-2-36980-106-1
Prix: 17 Euros

Nouvelle édition en mai 2024

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Un texte d’exorcisme qui dit la difficulté d’aimer.

Le dernier jour il me dira avoir longtemps rêvé, fantasmé, imaginé notre amour et être émerveillé d’avoir vécu une réalité plus belle encore que tous ses rêves, fantasmes, fabulations. Il ajoutera J’ai été heureux pendant six semaines. Très heureux.
Et puis il partira.
Mais ça je ne le sais pas encore.

15 juin, à 19h00, lecture de Ce qu’on appelle aimer à la librairie EXC, passage Molière à Paris.

Ce qu’on en dit :

  • “Lire Ce qu'on appelle aimer n'a rien d'anodin.”, 5, RUE DU, Frédéric Martin.

  • “Les chapitres sont brefs, parfois de quelques mots, des sanglots étouffés, des poèmes de rien, disant la banalité et la force troublante des amours déçues, telle une façon de se tenir debout dans l’abîme.” L'amour des hommes perdus, L'intervalle, Fabien Ribery, 1er mars 2017.

  • “Laure Samama double ses textes de photographies-métaphores pour évoquer ce que les mots ne peuvent pas montrer.” La cause littéraire, Jean-Paul Gavard Perret.

 

Tes mains s'effacent

collection Note, éditions Arnaud Bizalion
Livre-dépliant vendu dans son enveloppe calque.
Format ouvert, 32,5 x 47,5 cm; forme fermé : 12 x 16 cm
Texte et photographies
ISBN : 978-2-36980-155-9
Prix: 5 Euros

Tes mains s’effacent est le récit d’un retour à soi. L’autre est parti, son souvenir s’estompe, laissant la place à d’autres histoires, d’autres perceptions, de nouveaux récits.

Je vais poser l’appareil photo entre le monde et moi pour protéger mes yeux de la brûlure du réel. Le temps d’un été il sera mes lunettes eskimos.

Ce qu’on en dit :

  • “C’est une seule feuille pliée en huit comportant en son milieu une fente, comme une bouche, un appel d’air, une déchirure, une possibilité de lecture.”, Ecrire, photographier, Laure Samama en majesté, L’intervalle, Fabien Ribery, 28 nov. 2018.

Des bouts de tout

éditions Vinaigrette, sept. 2022

Des brassées, des torrents, des éclaboussures,
tout et plus encore,
ou alors
rien.

Ecouter Des bouts de tout en concert, par Minerva Kautto et Pierre Fourmeau

Ce qu’on en dit :

  • “Laure fait preuve d’une réelle maîtrise de la poésie, sa plume court comme le vent sur la lande, elle use de la répétition des mots et de l’usage de mots semblables dans de belles assonances qui donnent encore plus de caractère à son texte. J’ai reçu cette petite revue comme un faire-part annonçant la naissance d’un talent, comme la promesse de la publication d’autres recueils plus fournis dans un avenir proche.” Faire-part de naissance, Denis Billamboz

Le rêve de René

éditions Furtives, avril 2020

“Il arrive qu’à son tour René ferme la maison à clé et s’en aille passer l’hiver aux côtés d’une femme aux reflets bleus sur la côte d’opale, avant d’en rejoindre une autre aux reflets violets sur la côte niçoise. Cette dernière aimerait le voir rester. Mais René revient chaque été dans la maison de Marguerite.

Ce qu’on en dit :

  • “Le texte de Laure Samama est tout en dis­cré­tion. C’est celui d’une regar­deuse en rien voyeuse.” Le littéraire, Jean-Paul Gavard-Perret

 

Cheminer ensemble,

sortie de résidence à la Factorie, Maison de la poésie de Normandie, déc. 2021.


Parutions en revues

Revue L’air de rien, 2023

Revue L’allume feu

Revue Spasme